JFK (1991)

Réalisation: Oliver Stone
Scénario: Oliver Stone, Zachary Sklar 
Musique: John Williams

Distribution: Kevin Costner, Kevin Bacon, Tommy Lee Jones, Gary Oldman, Michael Rooker, Laurie Metcalf...
Gracieuseté de :http://www.autourdufilm.com/  

Le véritable Jim Garrison interprète Earl Warren, qui fut l'un de ses plus farouches opposants...

Le "Colonel X" est inspiré du colonel L. Fletcher Prouty, agent de la CIA, et celui de Willie O'Keefe, d'un représentant en assurances, Perry Russo. 

Perry Russo, qui fut un témoin essentiel des conversations entre David Ferrie, Clay Bertrand et Lee Harvey Oswald apparaît au début du film sous les traits de l'homme du bar qui affirme que le tueur de JFK aurait dû recevoir une médaille pour son acte.

Oliver Stone considère 'JFK' comme son film préféré.

Chaque détail concernant le Bureau Oval fut méticuleusement reconstitué grâce à des films et des photos d'archive datant de l'époque où Kennedy était président. La construction du décor coûta 70.000 dollars pour à peine huit seconde d'apparition dans le long-métrage.

 

 

Gracieuseté de :

http://cinedvd.net

 

Le sujet:

Un procureur relance l'enquête sur le meurtre du président Kennedy. Tout porte à croire qu'il s'agit finalement d'un complot...

Le film:

Plus qu'un film historique, JFK contribue à l'Histoire. Oliver Stone réussit à transformer un film de fiction en un passionnant reportage. Contrairement à American Tabloid (le sublime livre de James Elroy) qui mêlait des faits historiques avec des éléments purement inventés, JFK rapporte des faits connus, dont certains sont extrapolés.
Résultat, il parvient à convaincre n'importe quel spectateur du bien-fondé de la thèse du complot, et plus encore, relance un débat qui était enterré depuis l'intervention de Garrisson.
Si le fond est important, il est admirablement mis en forme par une mise en scène soignée et un montage titanesque. La participation très convaincante de Costner est également pour beaucoup, dans l'obtention de ce résultat si passionnant!

Le disque:

Le menu fixe permet le choix des langues et l'accès au chapitrage.
Aucuns suppléments alors qu'ils ne manquent pas (voir le reportage sur C+, à la suite de la diffusion du film). La version director's cut (qui comporte environ 17mn en plus) ne nous est même pas proposée alors qu'elle existe sur le Zone 1. Franchement une honte!

L'image (partiellement recadrée lors des premiers chapitres. Il ne manque que du noir, mais c'est un curieux choix qui gênera sûrement les possesseurs de TV 16/9) est de définition douce est manque un peu de piqué, on a même droit à quelques légers défauts de compression.

Bref: Cette édition n'a plus aucun intérêt depuis que Warner a réédité le film en version collector.

 

 

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